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Mort d'un supporter du PSG


JTABG69

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Un supporter du PSG tué par balle par un policier

ven. nov. 24, 2006 7:09 CST

PARIS (Reuters) - Un supporter du Paris Saint-Germain a été tué par balle et un autre a été grièvement blessé par un policier, jeudi soir, près du Parc des Princes après une rencontre de coupe de l'UEFA contre le club israélien de l'Hapoel Tel-Aviv, a-t-on appris de sources policières.

Le policier, un agent en civil de la police régionale des transports, d'origine antillaise, a ouvert le feu dans des circonstances encore floues sur un groupe de supporters du PSG liés au "cop Boulogne", marqué à l'extrême droite.

L'un d'eux a été tué sur le coup et un second grièvement blessé, a été transporté dans la nuit à l'hôpital parisien de la Pitié-Salpêtrière.

La police a interpellé plusieurs témoins ou protagonistes de la scène qui étaient interrogés dans la nuit de jeudi à vendredi. Une enquête a été confiée à l'Inspection générale des services, qui a placé l'auteur des coups de feu en garde à vue.

Plusieurs versions des faits ont été présentées de sources policières. Selon un haut responsable de la préfecture de police, le drame s'est produit alors que plusieurs dizaines de supporters du PSG tentaient de s'en prendre à un jeune Français arborant les couleurs du club israélien qui venait de battre les Parisiens 4-2.

Ce jeune homme était menacé par les partisans du club de la capitale qui scandaient "La France aux Français!".

Il se serait réfugié auprès du policier d'origine antillaise et les supporters d'extrême droite parisiens les auraient pris à partie. Le policier aurait d'abord fait usage d'une bombe lacrymogène, puis de son arme de service.

Le jeune supporter français de Tel-Aviv n'avait pas été retrouvé à 01h00 GMT.

Selon une source syndicale policière, l'auteur des coups de feu a été pris à partie directement et insulté par les supporters d'extrême droite alors qu'il se trouvait dans un restaurant McDonald's, proche du Parc des Princes. Il aurait alors ouvert le feu dans des circonstances indéterminées.

Le parquet de Paris devrait ouvrir une enquête dès vendredi.

Le PSG a connu de nombreux problèmes de violence dans le passé avec ses supporters d'extrême droite, qui se réunissent dans la tribune Boulogne. Ils sont allés jusqu'à provoquer des affrontements avec d'autres groupes de supporters du club originaires de la banlieue parisienne.

Edited by JTABG69

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avant d'écrire bavure, ca serait bien peut être de savoir quelles sont les conclusions de l'IGS, non? :rolleyes:

pas mieux!

Si tu pouvais corriger l'intitulé du topic STP.

On pourra très bien apprendre que c'était de la légitimé défense...donc pas de précipitation.

ha le sport, une vraie passion ;)

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C'est une bavure evidemment.

Il etait a un contre 150 et venait simplement de sauver un vrai supporter du lynchage, il n'avait donc aucun droit de se défendre.

Les choses se precisent ce matin selon les depeches AFP.

Un supporteur du PSG a été mortellement blessé par balle et un autre blessé par un policier jeudi soir à l'issue et en marge du match PSG - Hapoël Tel-Aviv à proximité du Parc des Princes à Paris, a-t-on appris de source policière. Selon les premiers éléments de l'enquête, un fonctionnaire de police en civil, seul sur les lieux, s'est porté au secours d'un supporteur israélien qui avait été agressé par un groupe d'autres supporteurs du PSG au nombre de cent cinquante, selon des estimations policières. Ce policier a "violemment été pris à partie" par ceux-ci à la hauteur de la porte de Saint-Cloud, dans une rue non loin du Parc, selon la préfecture de police de Paris (PP) interrogée par l'AFP. Il a alors fait usage d'une bombe lacrymogène afin de se dégager puis a tiré deux coups de feu, selon la PP.

Deux personnes parmi les supporteurs du PSG ont été touchées. L'un est décédé, l'autre blessé. On ignorait la gravité des blessures de celui-ci.

Le policier a ensuite été pourchassé par le groupe de supporteurs du PSG et il s'est réfugié dans un restaurant Mac Donald, toujours selon les premiers éléments de l'enquête. D'importantes forces de police ont été envoyées sur place, selon la même source, et sont intervenues afin de faire cesser les bagarres.

et a prendre avec des pincettes mais ecrit par un supp du psg:

à la sortie de la tribune Boulogne des gars défoncent les palissades d´un chantier puis "chasse aux juifs" avec des lynchages un peu partout près du métro et devant les princes (le bar).

charge de crs gazage puis ça part en vrille avec des ratonnades de partout dans boulogne billancourt

Un noir en civil (sans doute un rg) est alors coursé par 100 à 200 gars il sort un flingue tire et se réfugie dans le McDo.

Un mec s´effondre (un casual je pense,pas un boys)les indeps saccagent le MacDo a la recherche du black aux cris de "Le Pen président"

En fait la tape était prévue par les feujs depuis longtemps... Plusieurs drapeaux du Betar ont été aperçus ds les rangs juifs... Eux et la LDJ voulaient régler leurs comptes avec la tribune Boulogne et les indeps...

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Philippe Broussard, rédacteur en chef du service société de L'Express et spécialiste du milieu hooligan, se trouvait Porte de Saint-Cloud au moment où un policier a tiré sur des supporters du PSG, après la lourde défaite du club en coupe d'Europe. Bilan: un mort, un blessé grave. Il a vu une partie de l'agression dont a été victime le policier impliqué dans cette affaire

Après le match, je me suis rendu Porte de Saint-Cloud, à 300 mètres du Parc des princes, car la tournure de la rencontre (défaite du PSG) et la présence d'au moins 15 000 supporters de Tel Aviv, français ou israéliens, faisaient craindre des accrochages avec la frange la plus violente des fans du PSG.

"Reste derrière moi, reste derrière moi !"

Vers 22 h 50, alors que j'arrive à proximité de la station de métro Porte de Saint-Cloud, les premiers incidents éclatent. Quelques centaines de parisiens, pour la plupart très jeunes, cherchent à s'en prendre, ici ou là, à des supporters adverses (rares à cet endroit). Les policiers chargent et les repoussent vers l'esplanade de la Porte de Saint-Cloud, une place très vaste, entourée de cafés, de restaurants, d'une église, d'une grande station de bus et d'un dépôt de la RATP. Le match est fini depuis moins de vingt minutes mais il y a encore foule sur la place. Peu de policiers, en revanche. Une discrétion surprenante dans la mesure où ce secteur est traditionnellement celui où les fans parisiens les plus durs (ceux de la tribune Boulogne, réputés sensibles aux thèses d'extrême-droite), se rassemblent après les rencontres.

Alors que j'arrive moi-même sur la place, certains parisiens se précipitent vers la station de bus, où ils essaient, semble-t-il, de poursuivre quelqu'un. Puis le groupe en question rebrousse chemin et commence à menacer, à distance, un homme marchant à vive allure au milieu de la chaussée. Je le vois: c'est un noir d'une trentaine d'années, assez grand, vêtu d'un pull en laine beige. Il a en main une grosse bombe de gaz lacrymogènes et tente de faire face à une foule de plus en plus hostile. A l'évidence, il cherche à protéger quelqu'un, situé près de lui, (j'apprendrai par la suite qu'il s'agissait sans doute d'un supporter de Tel Aviv) et lance à plusieurs reprises: "Reste derrière moi! reste derrière moi!".

Les assaillants pressent le pas, l'insultent. Il recule, panique, essaie de partir à droite, perd sa bombe lacrymo, la ramasse, recule à nouveau. Et la foule continue d'avancer, quelques dizaines de jeunes aux avants-postes; deux à trois cents à l'arrière. Le jeune noir regarde autour de lui, comme s'il cherchait de l'aide, mais il n'y a toujours pas de policiers visibles sur la place. Il faut fuir, maintenant, pour échapper au lynchage. Il court alors en direction du Mac Donald's, de l'autre côté de la place. Sur la gauche de l'établissement se trouve l'immense portail d'un dépôt de la RATP. Cette partie de la place est mal éclairée, et ne saurait constituer un refuge. C'est à ce moment là, peu avant 23 heures, que le drame se produit. Je n'y assiste pas directement, car je suis encore une cinquantaine de mètres plus haut. Mais je constate un mouvement de foule, comme si le "fugitif" était rattrapé par ses agresseurs à proximité du dépôt. Plusieurs personnes crient "Il a un flingue, il a un flingue". Et puis soudain, un coup de feu claque. Je me précipite. Je ne remarque aucune victime mais je constate qu'il a trouvé refuge dans le Mac Donald's où plusieurs clients sont attablés.

"C'est un flic !"

Ses poursuivants l'ont vu. Ils prennent le restaurant d'assaut, brisant les vitres à coups de pieds. A l'intérieur, le jeune homme sort une arme. C'est la première fois que je la vois. Puis un talkie-walkie. Alors, seulement, je comprends qu'il s'agit d'un policier. "C'est un flic, c'est un flic!", crient les assaillants, qui semblent également découvrir sa qualité de policier. D'autres continuent d'hurler "Sale nègre" ou "Bleu Blanc Rouge, la France aux Français!" Une haine raciste décuplée par la rumeur qui enfle très vite: le coup de feu aurait fait un "blessé grave". Dans un premier temps, je pense qu'il s'agit d'une rumeur.

Les minutes suivantes sont d'une extrême violence. Le policier, l'arme au poing, braque son arme sur les agresseurs, de plus en plus nombreux, regroupés devant le Mac Do. Lui, bien sûr, se trouve toujours à l'intérieur, protégé, en quelque sorte, par les vitres du restaurant qui cèdent une à une. Comme les renforts tardent, il cherche à se réfugier à l'étage, avec les clients. Les agresseurs tentent de pénétrer dans l'établissement mais y renoncent assez vite, de peur d'être coincés. Au total, la police mettra une bonne dizaine de minutes à intervenir. Une éternité. Surtout le soir d'une rencontre de football ayant mobilisé plus de 600 hommes à deux pas de là.

Sur la place de la Porte de Saint-Cloud, c'est toujours la confusion la plus totale. Les supporters sont furieux; ils hurlent "Il y a un blessé, c'est une bavure, il y a un blessé", ce qui attise la violence de ceux, racistes ou non, qui n'ont pas assisté au début de la scène. J'aperçois le corps là-bas, devant la porte lattérale du dépôt de la RATP. Il s'agit paraît-il d'un très jeune homme. Des gars de la tribune Boulogne tentent de le soigner en lui passant de l'eau sur le visage. Selon eux, il a été touché à la poitrine. Complètement paniqués, ils disent avoir alerté les secours, qui n'arrivent pas. Moi-même, j'essaie de demander de l'aide mais les pompiers et le Samu, eux aussi, mettront plusieurs minutes avant d'arriver.

Ce retard peut s'expliquer par la tension ambiante autour du Mac Do - les forces d'intervention balancent des gaz lacrymogènes - mais il est tout de même surprenant qu'un soir de match, à trois minutes à pieds d'un stade sous haute surveillance, les services de secours mettent plus de dix minutes à agir. Précision importante: à aucun moment les supporters du PSG ne s'en prennent aux pompiers, s'efforçant au contraire de faciliter leur intervention.

Il est alors 23h12. Les pompiers déplacent le blessé à l'intérieur des locaux de la RATP, hors de vue de la foule, et tentent de le sauver.Quelques minutes plus tard, j'apprends sa mort. Il se prénommait Mounir, il avait ses habitudes dans la tribune Boulogne. Les policiers de Renseignements généraux de la préfecture de police de Paris, spécialistes de la question hooligan, l'avaient paraît-il repéré parmi les "Indépendants", la frange la plus violente des fans du club de la capitale.

Dans le même temps, je comprends qu'un autre supporter - âgé d'environ vingt-cinq ans - a été blessé par balle (un poumon perforé). Il est soigné aux Trois Obus, la brasserie voisine. Lui aussi fréquentait semble-t-il les travées de la tribune Boulogne. Même s'il est sérieusement atteint, ses jours ne seraient pas en danger. Y aurait-il donc eu un second coup de feu? Pour ma part, je n'en ai entendu qu'un. Idem, à ma connaissance, pour les autres personnes présentes. L'enquête devra dire si la même balle a fait deux victimes, et à quel endroit celles-ci se trouvaient précisément au moment où elles ont été atteintes.

A partir de 23 h 30, les forces de l'ordre reprennent le contrôle du quartier. Elles protègent le MacDo, où se terrent toujours l'auteur du (ou des) coup(s) de feu et les clients. Les autorités policières investissent les lieux: l'état-major de la PJ, le préfet, et enfin les enquêteurs de l'Inspection générale des services (IGS, la police des police). Ces derniers héritent du dossier dans la mesure où un policier (membre de la brigade du métro et non d'un service chargé du maintien de l'ordre au Parc des princes) est impliqué. "Nous n'avons rien, nous partons de zéro", lâche un magistrat du parquet de Paris, visiblement perplexe. Il sait que les investigations s'annoncent difficiles. Avec des questions cruciales: le policier était-il directement menacé par les personnes touchées? Pourquoi n'a-t-il pas tiré en l'air? Portait-il ou non un brassard "POLICE"? Peut-on estimer qu'il a agi en situation de légitime défense? Seule certitude: plusieurs dizaines de personnes se précipitaient sur lui et voulaient l'agresser en raison de sa couleur de peau.

Il est maintenant plus d'une heure du matin. A l'étage du Mac Do, le jeune policier est interrogé par un collègue de l'IGS. Il est là, les mains sur la table, le regard perdu, comme emporté par un drame qui le dépasse. Dehors, l'agitation est retombée. Le blessé des Trois Obus a été évacué vers un hôpital. Dans le dépôt de la RATP, le corps de Mounir est recouvert d'une bâche blanche.

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Quand je compare ça à nos CR de déplacements, j'ai du mal à croire qu'il s'agit à chaque fois de matchs de football professionnel racontés par des supporters.

On a le même maillot (enfin là c'est le PSG... mais vous voyez l'idée), mais on ne semble pas avoir la même passion.

Supporter de l'Olympique Lyonnais de 1990 à son remplacement par la société de spectacles télévisés OL Group (2015).

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C'est affligeant. J'attend d'en savoir plus, mais je ne peux m'empêcher d'avoir certains apprioris sur certains types de "supporters". Je trouve tellement dommage qu'on prenne en compte la couleur de peau ou la religion quand on parle de supporter sa ville, son club.

-= L'homme mégaphone =-

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C'est dingue ça ! Un flic s'est défendu alors qu'il a failli se faire lyncher par 150 connards de hooligans, et le premier terme que les gens utilisent pour parler du sujet, c'est bavure, comme si par défaut on considère que c'est une faute du flic :furax:

Ce pays a vraiment un gros problème de considération avec ses forces de l'ordre (Mai 68 ne doit pas être étranger avec ce genre de mentalité anti-autoritariste à mon avis)...

Ragnarok

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La prudence impose d'attendre les conclusions définitives. Mais pour l'instant les témoignages portés à notre connaissance par les médias sont fort concordants...

"Chasse aux juifs"... On est où ? ou alors, quand ?

Supporter de l'Olympique Lyonnais de 1990 à son remplacement par la société de spectacles télévisés OL Group (2015).

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vendredi 24 novembre 2006, 12h31

Une altercation raciste à l'origine du drame du PSG

PARIS (Reuters) - Une altercation à caractère raciste serait à l'origine des affrontements au cours desquels un supporter du Paris Saint-Germain a été abattu par un policier près du parc des Princes jeudi soir, a déclaré le procureur de Paris, Jean-Claude Marin.

Un groupe d'une centaine de fans du PSG ont poursuivi un supporter français du club d'Hapoel Tel-Aviv, Yanniv Hazout, qui s'est réfugié près d'un policier d'origine antillaise, Antoine Granomort, a expliqué le procureur aux agences de presse.

"Il semble que des injures racistes assez massives aient été proférées: 'sale nègre, sale juif'. Il y avait aussi 'Le Pen président', des cris de singe et des saluts nazis", a ajouté Jean-Claude Marin.

En situation apparente de légitime défense, selon le magistrat, le policier a ouvert le feu.

"L'hypothèse la plus probable" est qu'une seule balle a blessé Mounir Bouchaer, lui traversant le poumon, avant d'atteindre en plein coeur et de tuer Julien Quemener, 25 ans, membre du club de supporters des "Boulogne Boys", proche de l'extrême droite, a ajouté le procureur.

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Pourquoi il a pas tire sur tout le groupe de blaireau en meme temps.

Sarko peut pas fournir des Uzi au flics en civil ?

http://les-avalanches-footus.blogspot.com/

La seule verite est 4 8 15 16 23 42

Mieux vaut une taupe dans son jardin, qu'un jurassien comme voisin ! Proverbe Oyonnaxien

Une tete, deux bras, deux jambes, cela peut etre n'importe qui ! Proverbe Shingouz

'... soit vous faites votre sirop de vingt-et-un et vous dites "beau sirop, mi-sirop, siroté, gagne-sirop, sirop-grelot, passe-montagne, sirop au bon goût'

Hexa.jpg

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C'est pourri le foot...

Sur ce débat néanmoins ,je parie que les mêmes qui trouvaient pleins de circonstances atténuantes pour les mecs des banlieues n'en trouveront aucune pour les fachos du PSG..

Toujours aussi stérile et nauséabond ce genre de réflexions...

Je vois bien venir un débat fachos/banlieues, extrême droit/extrême gauche, nazisme/communisme et sous peu quelqu'un va nous poser les chiffres des morts sous Stalline et de ceux sous Hitler :rolleyes:

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rien à voir avec nazisme/communisme...

Elle n'est pas stérile toi ta remarque sur le fait qu'un homme soit mort et que c'est triste...?

Ta vie doit être surement plus interessante que la mienne, tu ne sais jamais où la neige va tomber...

Non rien à voir en effet mais comme le sujet initial n'a rien à voir non plus avec les banlieues qu'on était dans des prévisions de réactions, j'anticipe et j'exagère moi aussi.

Sinon, se désoler de la mort de quelqu'un, c'est toujours stérile puisque ça ne le fera jamais revenir, qu'il soit facho, acteur ou autre...

Sur ta dernière phrase, je pense qu'on est clairement hors-sujet mais je veux bien des explications en privé.

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