$ynop$ Posté(e) le 11 janvier 2006 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 11 janvier 2006 mais je trouve qu'on admet avec une légèreté un peu gênante l'idée qu'un gars au moins parmi les concurrents du départ, VA, statistiquement, se tuer. <{POST_SNAPBACK}> tout pareil..... 0 Citer "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît." [Audiard] "Si vous ne pouvez pas répondre à l'argument de quelqu'un, tout n'est pas perdu. Vous pouvez encore l'injurier." [ Elbert Hubbard ] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iles-Féroé Posté(e) le 11 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 11 janvier 2006 bien sur que la pollution n'est qu'un des multiples facteurs. bien sur que ce que tu dis est également très juste. Perso, tu me proposes une activité où je sais au départ que l'un des concurrents perd la vie, je ne suis pas candidat. (un peu comme certaines courses au large en solitaire). Moi ce qui me gène, c'est plutot cet esprit de "colon", nous les blancs, allons faire notre activité de riche chez vous, sous vos yeux, en passant sous votre nez, en écrasant vos petits "sauvages" au passage. D'ailleurs, quelle différence de traitement lorsqu'un mome est renversé ou lorsqu'un pilote professionnel chute ! Lorsque c'est un autochtone, ne dit-on pas que "c'est l'esprit du dakar patati patata ?" mais qu'est-ce qui est le plus choquant : qu'un mec meurt d'une chute de moto à 250 km/h en faisant son métier (et en ayant choisi de faire cette course) alors qu'il est conscient de ce risque ou bien la gamine qui a eu le malheur de traverser le village au moment où le motard est passé ? 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
$ynop$ Posté(e) le 11 janvier 2006 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 11 janvier 2006 pour la pollution, j'ai entendu ce matin un reportage qui disait que les excursion de village en village polluaient nettement plus le desert. En effet, on trouve toutes sortes de canettes, de sacs en plastiques et autres dtrirus laissés à l'abandon aux alentours des camps de touristes... 0 Citer "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît." [Audiard] "Si vous ne pouvez pas répondre à l'argument de quelqu'un, tout n'est pas perdu. Vous pouvez encore l'injurier." [ Elbert Hubbard ] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iles-Féroé Posté(e) le 11 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 11 janvier 2006 c'est un peu facile comme argument je trouve. On pourra toujours trouver qqch qui pollue davantage ou qui apporte plus de nuisances. Ce n'est pour autant pas une raison pour en rajouter. Sous prétexte que quelqu'un d'autre fait pire on aurait le droit de polluer quand meme ? 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
$ynop$ Posté(e) le 11 janvier 2006 Auteur Signaler Partager Posté(e) le 11 janvier 2006 ce n'est pas ce que je voulais dire... mais critiquer la pollution générée par le dakar et lutter contre c'est bien... Si, en face tu fermes les yeux sur toutes les autres pollutions, c'est du n'importe quoi ! 0 Citer "Les cons ça ose tout, c'est même à ça qu'on les reconnaît." [Audiard] "Si vous ne pouvez pas répondre à l'argument de quelqu'un, tout n'est pas perdu. Vous pouvez encore l'injurier." [ Elbert Hubbard ] Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
tOOn Posté(e) le 11 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 11 janvier 2006 C'est ce qui fait que c'est une aventure..; Il existe une chance non negligeable de ne pas arriver au bout... C'est aussi ce qui motive la plupart à se dépasser. C'est triste pour les familles, mais on ne peut pas assumer le choix des gens qui partent pour cette aventure à leur place. 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Exilé17 Posté(e) le 13 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 13 janvier 2006 Un garçon d'une dizaine d'années est décédé, ce vendredi, après avoir été heurté par un concurrent auto du Dakar peu après le départ de la 13e étape. L'accident s'est produit à 10h00, à environ 6 km du village de Kourahoye, 25 km seulement après le départ de la spéciale. 0 Citer Supporter de l'Olympique Lyonnais de 1990 à son remplacement par la société de spectacles télévisés OL Group (2015). Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Adam Posté(e) le 13 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 13 janvier 2006 Je vais finir par être d'accord avec la phrase de Coluche. C'est quand même absurde de mourir à 10 ans pour une course de bagnole. 0 Citer OL, ça l'fait. Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Drolix Posté(e) le 13 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 13 janvier 2006 Tu as le meme genre d'accident tt les ans pendant le tour de France, mais vu que ca va moins vite, y a moins de mort. 0 Citer http://les-avalanches-footus.blogspot.com/ La seule verite est 4 8 15 16 23 42 Mieux vaut une taupe dans son jardin, qu'un jurassien comme voisin ! Proverbe Oyonnaxien Une tete, deux bras, deux jambes, cela peut etre n'importe qui ! Proverbe Shingouz '... soit vous faites votre sirop de vingt-et-un et vous dites "beau sirop, mi-sirop, siroté, gagne-sirop, sirop-grelot, passe-montagne, sirop au bon goût' Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Denis La Malice Posté(e) le 14 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 14 janvier 2006 aujourd hui une pensee pour Daniel et Thierry .... de partir comme ca .... 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
JTABG69 Posté(e) le 14 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 14 janvier 2006 :+1: 20 ans déjà... 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Iles-Féroé Posté(e) le 14 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 14 janvier 2006 allez, ça continue ! Un 2e enfant décédé aujourd'hui ! Vivement que ça se termine... 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
stras Posté(e) le 14 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 14 janvier 2006 allez, ça continue ! Un 2e enfant décédé aujourd'hui ! Vivement que ça se termine... <{POST_SNAPBACK}> Dakar, kadar...ha oui cadavre ! 0 Citer A mesure qu'on lève les voiles de l'inconnu, on dépeuple l'imagination des hommes Maupassant Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
JTABG69 Posté(e) le 15 janvier 2006 Signaler Partager Posté(e) le 15 janvier 2006 Dakar: Luc Alphand et Marc Coma remportent un rallye endeuillé PARIS (Reuters) - Luc Alphand et Marc Coma ont remporté le Dakar dimanche au terme d'une course endeuillée par la mort de deux enfants et du motard australien Andy Caldecott. En hommage aux trois victimes, les 31 km de spéciale de la 15e et dernière étape autour du Lac Rose ont été neutralisés mais les concurrents ont parcouru 110 km kilomètres du parcours autour du Lac Rose et la remise des prix a été maintenue. Les deux jeunes garçons sont morts après avoir été renversés par des concurrents et un camion d'assistance au cours des 13e et 14e étapes, vendredi et samedi. Caldecott s'est tué dans un accident survenu lundi au cours de la neuvième étape. Ces trois décès portent à 48, dont huit enfants, 23 concurrents et le fondateur de l'épreuve Thierry Sabine, le nombre des morts du Dakar en 28 ans d'existence de la course. Luc Alphand a couronné sa reconversion des pistes de ski alpin, dont il a remporté la Coupe du monde en 1997, aux dunes en gagnant la catégorie voitures au volant d'une Mitsubishi. Le Français a devancé Giniel de Villiers, pilote sud-africain de Volkswagen, de 17 minutes et 53 secondes. La catégorie motos a été dominée par les KTM qui ont raflé les huit premières places. L'Espagnol Coma s'est imposé avec une heure 13 minutes et 29 secondes d'avance sur le Français Cyril Despres, vainqueur l'année dernière. Dakar: Luc Alphand, de la neige aux dunes PARIS (Reuters) - L'exploit est unique, Luc Alphand l'a accompli, il est allé chercher la victoire dans les dunes de sable du Dakar neuf ans après avoir remporté la Coupe du monde de ski alpin. "C'est un grand soulagement d'être à Dakar. Alors quand on a la chance de gagner, c'est incroyable. C'était une très belle course, avec une vraie bagarre. Il a fallu se battre tous les jours dans la voiture, malgré la fatigue", a dit le Français. "Je ne réalise pas vraiment encore même si j'ai commencé à y croire à Labé, quand Stéphane (Peterhansel, double tenant du titre) a tapé un arbre. Je me suis alors retrouvé en position de gagner. Mais il a fallu tenir jusqu'au bout. Et aujourd'hui, je suis vraiment heureux." L'histoire débute en 1965 à Briançon, près de Serre-Chevalier, où Alphand naît le 6 août et va grandir et chausser les skis à deux ans, alors qu'il sait à peine marcher, auprès de son père Aimé, guide de haute-montagne, sa mère Jo et son frère aîné, Lionel. A la pré-adolescence, Luc montre des qualités de skieurs et remporte ses première compétions régionales. En 1983, il décroche à Sestrières le titre de champion du monde junior de descente. La même année, il passe le baccalauréat avant de rejoindre l'équipe de France l'année suivante. Il lui faudra ensuite près de dix ans pour se révéler au plus haut niveau et remporter sa première descente en Coupe du Monde, le 14 janvier 1995. Sur cette décennie, il va connaître tous les pépins d'un skieur qui aime prendre des risques. Sorties de piste, blessures... Il songe à renoncer et à reprendre ses études mais le ski lui manque rapidement et il revient lors de la saison 1986-1987. Mais en janvier 1987, sur la mythique Streif, à Kitzbühel, il chute. Ligaments déchirés. Il envisage trois mois plus tard, en avril, d'abandonner le ski mais le directeur technique national de l'époque, Jean-Pierre Puthod, le convainc de persister. Et malgré de nouvelles blessures, il va persister. Et participer aux JO de Calgary (Canada) en 1988 où il termine au pied du podium du combiné. "RECONVERSION REUSSIE" Alphand remonte sur un podium en décembre 1990 à Val Gardena où il termine troisième de la descente. Deux ans plus tard, bien que se relevant à peine de blessure, il participe aux JO d'Albertville sans briller. Encore au pied du podium lors du Mondial au Japon l'année suivante, il vise les JO de Lillehammer. Une fois encore, les podiums lui échappent mais, une fois encore, il remet son ouvrage sur le métier. Il travaille, se façonne un corps d'athlète, passe enfin une saison sans blessure en 1994/1995 et termine deuxième de la descente de Val d'Isère. Le 14 janvier 1995, la consécration, enfin. Il réussit un doublé historique sur la Streif de Kitzbühel, le monument de la descente. Moins de 12 mois plus tard, après un succès à Vail, il remporte son premier Globe de cristal, en descente. L'année suivante, il empoche le deuxième et une médaille de bronze aux championnat du monde. En 1997, il échoue aux Mondiaux mais se rattrape en remportant les Coupes du monde de descente et de super-G. Mieux encore, il devient le premier Français à terminer premier au classement général de la Coupe du Monde depuis Jean-Claude Killy en 1968. "Je me sens mieux à 30 ans qu'à 20 ans. J'ai désormais une excellence connaissance de moi-même et c'est plus important que l'expérience des pistes ou du sport lui-même", dit-il alors, avant de choisir de mettre un terme à sa carrière de skieur. Car la compétition fait partie intrinsèque du champion et lorsqu'il déchausse les skis, il décide de passer derrière le volant. Il dispute son premier Dakar en 1998, les 24 heures du Mans en 2001. En 2005, il passe pour la cinquième fois la ligne d'arrivée du Dakar, en deuxième position. Dimanche, Luc Alphand a prouvé que sa reconversion était totalement réussie, en franchissant en vainqueur la ligne d'arrivée du rallye africain sur les rives du lac Rose, aux environs de Dakar, dans le sable qui finalement, n'est pas si loin de la neige qui l'a vu grandir. 0 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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