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JO de Turin


Adam

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c'est exact :D effectivement c'est énorme. Un peu comme les 10% de la population des Féroé qui joue au foot. En tout cas, le biathlon, c'est vraiment sympa à regarder, même sans français, c'est télégénique. J'espère que quelques chaines vont oser en diffuser davantage (meme si j'ai vu quelques course sur eurosport cette saison). C'est facile de dire que ça ne fait pas d'audience, mais le téléspectateur il regarde aussi un peu ce qu'on lui propose.

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JO - Biathlon (F) : Bailly enfin à son niveau ?

Sandrine Bailly aborde l'épreuve avec départ en ligne de samedi le moral regonflé après la médaille de bronze obtenue en relais. «Cela soulage», a déclaré sobrement la Française, qui malgré un statut de favorite, n'a pas réussi de grandes performances dans le Piémont : deux sixièmes places (15 km et sprint) et une 12e (poursuite), alors que le podium était l'objectif.

Mais le bonheur qu'elle a éprouvé avec ses copines sur le relais pourrait bien lui donner des ailes à l'heure d'aborder la dernière épreuve des Jeux, le 12,5 km départ groupé. Elle devra s'inspirer de Florence Baverel-Robert, qui a créée la surprise en s'imposant dans l'épreuve du sprint.

Face à elle seront néanmoins déployées les armadas russes et allemandes, qui se sont partagées tous les podiums, à l'exception de celui du sprint.

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JO - Hockey : Retraite internationale pour Jagr

Médaillé de bronze à Turin sous les couleurs tchèques, mais évoluant chez les New York Rangers en Championnat, Jaromir Jagr estime qu'il est temps, à 34 ans, de prendre sa retraite internationale.

«Le temps est venu de partir», a-t-il déclaré à l'issue des JO de Turin. Avec 199 sélections en équipe nationale, le futur retraité a déjà conquis un titre olympique en 1998, un Championnat du monde en 2005, ainsi que deux victoires en Coupe Stanley avec Pittsburgh. Ses coéquipiers Martin Rucinsky, Robert Lang, Jaroslav Spacek ou encore Martin Strake ont également décidé de mettre un terme à leur carrière internationale après le breloque obtenue à Turin.

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SESTRIERES (Reuters) - En dehors du dopage, il existe mille et une autres façons, plus ou moins étranges, de se faire exclure des Jeux d'hiver.

En saut à ski, par exemple, le malheureux compétiteur qui ne remonte pas intégralement la fermeture Eclair de sa combinaison risque bien plus qu'un coup de froid.

Son oubli peut lui valoir une disqualification pure et simple.

Pour éviter qu'un sauteur cherche à améliorer sa portance au vent en prenant l'allure du bonhomme Michelin, les règles sont formelles: sa combinaison doit épouser son corps.

Durant l'épreuve du combiné nordique jeudi, l'Allemand Björn Kircheisen a été accusé par les Finlandais de ne pas avoir totalement fermé sa combinaison.

La contestation a été rejetée par les commissaires, à l'unanimité.

Autre aspect du réglement qu'a découvert le Japonais Masahiko Harada, lors des qualifications pour le petit tremplin: la longueur des planches ne doit pas excéder la taille du sauteur multipliée par le coefficient 1,46.

En ski alpin, autre règle arithmétique: la Britannique Chemmy Alcott n'a pas pu prendre le départ du combiné vendredi parce que des skis ont été jugés trop étroits... de 0,2 mm.

Le règlement du ski de fond n'hésite pas à pénaliser les stakhanovistes: sera disqualifié le compétiteur qui skie plus d'une manche de relais.

Plus mystérieux: les fondeurs ne peuvent prendre part à la course que s'ils sont clairement identifiables.

Ainsi le Costaricien Arturo Kinch, 49 ans, affublé d'une perruque et d'une fausse moustache, aurait-il pu être exclu de la compétition. Trébuchant dès les premiers mètres de l'épreuve du 10 km classique, il a finalement terminé à la 96e place.

La stricte application des partenariats commerciaux noués avec les sponsors peut, elle aussi, être un motif d'exclusion.

Malheur au compétiteur ou au spectateur qui consommerait un produit interdit. Comprendre: un produit dont la marque ne soit pas sponsor officiel des Jeux.

Ce qui explique pourquoi l'ensemble des athlètes doit courir aux Jeux sans aucun sponsor.

L'usage d'un vocabulaire trop familier peut aussi s'avérer pénalisant.

Après avoir manqué ses cinq tirs, le biathlète américain Jay Hakkinen a failli être disqualifié dans l'épreuve du sprint pour avoir laissé échapper quelques jurons.

Son entraîneur l'a pourtant rassuré aussitôt: lui n'avait rien entendu.

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  • 2 semaines après...
JO - Paralympiques : Jambaqué encore en or

Deuxième course, et deuxième médaille d'or pour Solène Jambaqué, qui a remporté le Super G catégorie debout aux Jeux Paralympiques à Sestriere, deux jours après sa victoire en descente. La Française, qui souffre d'une hémiplégie, s'est imposée avec un temps final de 1'14"13, après les pondérations attribuées en fonction du handicap.

Après son nouveau triomphe, la Haut-Garonnaise ne retenait pas sa joie : «J'ai sorti les tripes du ventre (sic). Je voulais remonter sur le podium. J'ai tellement eu d'émotions samedi en écoutant la Marseillaise». Devant le début de polémique qui la considère moins handicapée que ses adversaires, Jambaqué réplique : «Les organisateurs ont tout fait pour cela avec les coefficients. Nous avons des contrôles pour vérifier notre degré de handicap. Ils m'ont acceptée, cela veut dire que mon handicap est assez lourd pour que je continue». Elle visera même une troisième médaille en géant jeudi ou en slalom samedi.

7 médailles (4 or, 3 bronze) en l'espace de 3 jours :bravo:

On n'en parle pas assez, je dirai même qu'on n'en parle même pas... ;)

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Bah si toi.

F3 a 11h30 tt les jours.

Et les journaux tele a la fin.

http://les-avalanches-footus.blogspot.com/

La seule verite est 4 8 15 16 23 42

Mieux vaut une taupe dans son jardin, qu'un jurassien comme voisin ! Proverbe Oyonnaxien

Une tete, deux bras, deux jambes, cela peut etre n'importe qui ! Proverbe Shingouz

'... soit vous faites votre sirop de vingt-et-un et vous dites "beau sirop, mi-sirop, siroté, gagne-sirop, sirop-grelot, passe-montagne, sirop au bon goût'

Hexa.jpg

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JO - Paralympiques : Une seule médaille mardi

Mardi a été une journée difficile pour l'équipe de France, qui a rétrogradé de la première à la cinquième place du classement des médailles. Seul le bronze obtenu en biathlon 7,5 km «debout» par la capitaine Anne Floriet, déjà titrée sur 12,5 km, est venue s'ajouter aux quatre médailles d'or et trois autres de bronze déjà collectées depuis le début des Jeux Paralympiques d'hiver de Turin. Les déceptions sont venues du ski alpin, fournisseur de médailles les jours précédents.

«La neige était difficile. J'ai perdu l'équilibre à plusieurs reprises, a commenté Anne Floriet, qui a terminé derrière les Russes Alena Gorbunova et Anna Burmistrova. D'autres concurrents ont deux jambes et je n'en ai qu'une !». En ski alpin, Pascale Casanova, médaille d'or dimanche en descente avec sa guide Bénédicte Sainas, a été disqualifiée en Super-G, catégorie déficients visuels, après avoir manqué une porte. Médaille de bronze en descente, Nicolas Béréjny a aussi abandonné en Super-G (déficients visuels) avec son guide Sophie Troc.

;)

Ca fait 8 médailles (4 or, 4 bronze)

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JO - Paralympiques : Et de cinq pour Jambaqué !

Elle n'est pas encore majeure mais c'est déjà une grande dame. A 17 ans, Solène Jambaqué va ramener tous les types de médailles possibles, parfois en double, des Jeux paralympiques de Turin-Sestrières. La lycéenne va retourner à Luchon après être monté cinq fois sur le podium, dont deux fois sur la plus haute marche et une dernière ce samedi après avoir terminé deuxième du slalom «debout». La France reste cinquième au tableau des médailles avant la fin des Jeux, dimanche.

En tête de la première manche, Jambaqué a été devancée au final par l'Américaine Allison Jones. Cette dernière «a mieux skié que Solène dans la deuxième manche, a commenté le DTN du ski handisport, Jean-Marie Frichet. Mais c'est une belle médaille, car c'est vraiment la discipline où elle était la moins à l'aise.» Elle aura la possibilité d'y remédier en changeant de statut : «Elle va rentrer dans un statut élite du ministère de la Jeunesse et des sports, comme les valides qui font des médailles. Cela se traduit par des aides financières au niveau des régions. Elle aura aussi des aménagements pour passer le bac et faire ses études».

Dimanche, la skieuse Pascale Casanova et sa guide Bénédicte Sainas ont encore les moyens d'augmenter le total de treize médailles (cinq d'or, deux d'argent et six de bronze) des Français(es) lors du slalom déficients visuels. Les espoirs reposent sur les épaules de Denis Barbet et Jean-Yves Le Meur en «assis» (en fauteuil).

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