Mardi soir, 22h50. Voilà l'heure à laquelle Sarah et moi quittons Paris à bord d'un Ouibus. Pour une fois, le trajet ne rime pas avec apéro mais bien avec dodo. C'est en effet après un périple de quasiment 10h passant par Vannes, Lorient et Quimper que nous arrivons enfin à Brest, surpris de ne pas être accueillis par une météo pluvieuse.
Nous comprîmes assez vite au petit dej que cette heureuse surprise allait être de courte durée, un client du café demandant à la serveuse non pas s'il allait pleuvoir, mais plutôt quand la pluie allait-elle commencer à tomber, comme si celle-ci était inévitable dans le far-west armoricain.
C'est donc sous le crachin et le vent que se déroulera quasiment tout le reste de notre périple, histoire d'avoir une vraie expérience locale.
Après avoir découvert la ville et savouré un déjeuner au rapport qualité prix exceptionnel (12 euros pour une formule entrée-plat-dessert-beaucoup de vin), nous retrouvons un ami habitant de Brest.
C'est l'occasion de découvrir la région, et de se rendre à la pointe Sainte-Maxime, point le plus à l'ouest de France (eh oui, on fait pas que se bourrer la gueule chez les Hexas), avant d'aller au stade.
Après avoir fait 3 fois le tour du quartier, l'entrée au parcage n'étant indiquée nulle part, nous voilà enfin arrivés à destination où nous retrouvons une poignée d'autres Hexas.
Côté tribune, belle mobilisation pour un mercredi 19h aussi loin des terres lyonnaises, avec présence des Lyon 1950 et des Rouge & Bleu. Côté match, on va pas s'attarder sur le sujet, les matchs se suivent et se ressemblent. Seul point positif, une accalmie côté pluie en seconde période fort appréciable dans ce parcage pas couvert (idée du siècle dans le Finistère).
Un bon kebab vient mettre fin à cette journée, pour un retour vers Paris le lendemain, everywhere ouibus!
Sacha
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