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Leverkusen - Lyon


HEX@GONES
  • Date & Heure : 31/10/2001 20:45 Score : 2 - 4 Auteur(s) : Méli

Mercredi, 7h10, Paris. Me voilà partie dans le métro parisien, pour rejoindre la gare du Nord. Vu les 6h de train qui m’attendent, je jette un œil sur les différents quotidiens, et opte finalement pour Le Monde (sérieuse la fille !).

Le TGV est vide, c’est cool, je vais pouvoir dormir. Ben faut dire que j’ai encore passé ma soirée sur le net, et aussi devant la TV, à regarder les p’tits Nantais apprendre aux Italiens ce qu’est le football ! L’heure de trajet qui sépare la capitale à la ville des Dogues se déroule tranquillement, ponctuée par les SMS de Titouplin (« Tu peux me prendre le maillot de Balmont ? S’il ne veux pas te le donner, arrache-lui » « bon, ok, je vais voir »).

Arrivée à Lille, changement pour Liège, une fois. 2 h 30 dans un train plutôt confortable, à travers les zones industrielles françaises et belges, passage par La Louvière, Charleroi, Huy… Tout ça est un peu tristounet, on croirait presque que c’est Halloween…

Liège, vite, il faut changer de train ! Juste le temps de repérer la voie et de trouver le wagon non fumeur, le chef de gare siffle, et nous voici parti pour l’Allemagne ! 1h30 encore à regarder le paysage toujours aussi monotone. Même s’il y a eu peu d’arrêts, je ne citerai pas les villes traversées (j‘aurais dû faire comme Indy, prendre un bloc-note, comme ça, avec les noms à coucher dehors, je vous aurais impressionnés 😉

14 h 15, Cologne. Enfin, l’Allemagne ! Jusque là, tout c’était bien passé. Mais un détail m’embête : j’ai demandé à avoir le forfait Europe sur mon portable, eh ben keine ! Pas de réseau ! Je suis sensée appelé Niko, Hex@llemand, pour qu’on se retrouve quelque part, mais ce n’est pas possible. Ouais, génial ! Je passe à la Poste, baragouine un truc, mais bon, la guichetière a compris, et je repars avec une jolie carte téléphonique (s’il y a des preneurs, faites-vous connaître !). Coup de fil, donc, à môman, pour qu’elle appelle le service client, puisque je ne peux le joindre depuis le poste fixe. Bon, pas moyen que ça marche pour le moment…

Je décide donc de faire un tour en ville. Brrrh, pas chaud dans ce pays ! Sortez les écharpes ! Un vent à tout emporté souffle sur la place de la Cathédrale. Je suis d’ailleurs un peu déçue par cet énorme édifice, noirci par la pollution… Le monument est implanté au centre de Köln, entouré de béton. Malgré le froid, les touristes japonais restent plantés là, bouche ouverte et appareil photo devant les yeux, pendant que les étudiants anglais écoutent avec attention leur guide. Un peu plus loin, les Allemands font du lèche-vitrine. La voie piétonne ressemble un peu à notre rue Victor Hugo, pas grand chose d’extraordinaire en fait. Je pensais faire un tour sur les bords du Rhin, mais il se situait plus loin que ce que j’imaginais. Je retourne donc à la gare.

Encore un coup de fil, pour Niko cette fois, mais je tombe sur une charmante demoiselle. Heu… je ne dois pas être douée avec les numéros moi ! Pourtant, le sien commence bien par 69 69, ou bien ?

Bon, temps pis, je réessaierai plus tard. Pour le moment, il faut que je me débrouille pour aller à Leverkusen (Les Verres Culs Secs pour les intimes). Pas de problème pour s’y rendre, il faut juste que je prenne le train de banlieue.

16 h 15, Leverkusen Mitte. Me voici donc dans cette ville dont on a tant entendu parlé. Je me dirige vers le point I, afin d’obtenir quelques informations concernant les transports en commun, et le « comment-on-va-au-stade ? ». Pas de chance, la madame du bureau ne parle pas anglais… Et quand je lui demande où se situe le stade, elle a la bonne idée de me répondre « Ich Weisse Nicht » Merci, tu sais que tu m’aides beaucoup là ?!

- Il faut prendre un taxi.
- Il n’y a pas de bus ?
- Faut aller leur demander, là-bas.
- Danke (nicht) schön

Bon, je sors, pas plus renseignée… En allant vers la cabine téléphonique que j’ai aperçu depuis le quai, je croise un gars habillé comme Toineau les jours de match. Mais comme il avait plus l’air d’un pervers que d’un supporter (l’Allemand, hein, pas Toineau !), j’ai préféré passer ma route, passer mon chemin, chacun son rêve et chacun son destin ! Je rappelle donc ma môman, et elle me dit que ça devrait être bon. En effet, il y a le logo E-Plus à la place d’Itineris, c’est sympa de leur part d’avoir fait leur boulot.

Je pars ensuite visiter le centre ville. C’et pas génial là non plus, une rue commerciale avec magasins de télécommunication tous les 10m, et l’insigne Bayer à tous les coins de rue. J’arrive enfin à joindre Niko, qui est encore à Francfort ; il m’explique comment me rendre au stade (à pied). Coup de chance, j’ai un plan sous les yeux. Mais il s’appelle comment, ce stade ? Bay Arena ? Oui, mais sur le plan, c’est Herr Machin ! Bon, c’est pas grave, je verrai bien, j’ai encore le temps. Je me pose alors en face d’une belle petite église en brique rouge, pour manger un bout. Puis je repars en direction de la gare. Comme il y a un plan de la ville, un peu plus récent, j’essaie de mémoriser le nom des rues par lesquelles je dois passer… pas facile comme exercice… Je suppose quand même que ce stade est indiqué… Même pas ! C’est quoi ça ! Il y a des distributeurs de clopes partout, mais pas un panneau stadium sur le chemin ! Ils sont forts ces Allemands ! Tant pis, on se fiera à mon sens de l’orientation (sic) !

18 h 00, Bay Arena. Eh non, je ne me suis pas perdue. Il est là, le stade où évolueront nos Gones. Magnifique, tout neuf, avec grande boutique, Mc Doof (dixit Niko) et hôtel incorporés, écran géant à l’extérieur… c’est pas un stade de pauvre ça, et ça se voit ! (comme le dit notre ami Hex@llemand, « le stade appartient à l’équipe… Aulas voit ça, il bande ! » J’irai pas vérifier Niko, mais je te crois ! Je jette un œil, et vais voir plus loin. Pas la peine de se balader autour du stadio, il n’y a rien. Je passe devant un stand d’écharpe, mais il n’y a pas grand chose, rien d’intéressant pour Exilé17, puisque se sont des écharpes d’autres clubs Européens (pas vu celles de l’OL, Nantes, Lille, ni même de l’ASSE… z’aiment pas les clubs français, ou bien ?)

En attendant Niko (coincé dans les bouchons) et les Nucléos (qui devaient arrivés en voiture eux-aussi), je m’installe à coté du baby-foot géant (non Gaël, ce n’est pas moi qui suis petite, c’est bien le stand de jeu qui est à échelle humaine !). Les parties se jouent au rythme de la célèbre musique techno allemande, vous savez, celle qui passe sur Arte lors d’émissions sur la jeunesse européenne ! Bon, vous comprenez donc pourquoi je ne suis pas restée longtemps !

19 h 15, les guichets du Bay Arena. Toujours pas de Nucléos, ni supporters Lyonnais tout cours. Je me rends au guichet visiteur, demande à la nana le prix des places (29 DM). Je lui demande si je peux payer en Euro. Elle me regarde avec de yeux santiniens (désolée…), je lui montre alors mon super chéquier, et non ! Pas moyen, faut régler en liquide ! Chouette ! j’appelle Niko, pour savoir où il en est, apparemment, il n’a pas beaucoup bouger depuis la dernière fois. Sera-t-il à l’heure ? Je prends ma place, et m’installe sur un banc derrière les véhicules de la Polizei.

20 h 15, l’entrée dans l’arène. Je rentre seule dans le stade, vu que Niko arrivera un peu après le coup d’envoi. C’est bizarre, il y a plein d’Allemands qui se présentent devant le block F4… Z’êtes sûr que c’est la tribune visiteur ? bon, on verra…

Comme ailleurs, fouille ! Le sac d’abords. Et 2è problème de la journée : la bâche. La « CRS » m’explique que je ne peux pas rentrer avec. Bon, heureusement qu’un spectateur allemand est là pour me traduire ses propos… Ben oui, la bâche est en plastique, elle peut donc prendre feu ! Pfffiou ! C’est embêtant ça ! Et j’en fais quoi alors ? Ah, si vous la mettez au chaud et si je peux la récupérer après, c’est bon ! Et le drapeau, il passe ? Bon, très bien…

Voilà voilà, enfin dans le stade ! Il est tout aussi beau à l’intérieur : 2 écrans géants, chauffage au plafond… et tribune présidentielle occupant tout un virage ! Si si, c’est original au moins ! Ils sont où ces Lyonnais ? j’aperçois la bâche Nucléo tout en bas, alors je les rejoins. Seuls 2 Ultras son là, plus 3 footix (papa, maman et fiston).

- Bonsoir ! Il n’est pas là Bart ?
- Nan, il n’a pas pu venir
- Vous êtes venu en voiture ?
- Ben on a eu un problème… on est monté en train, on a fraudé (pas bien !), Bart a lâcher l’affaire.

Ok, tant pis pour lui ! On regarde la compo affichée sur les écrans. Was ist das denn ? Chanelet défenseur central, Linares milieu déf, Carrière attaquant … Même JeM, qui m’appelle de Paris, n’en revient pas ! Mais qu’est-ce qu’il nous fait Santini ! « Equipe de merde » que j’ai dis, « on dirait un supporter parisien qui parle » qu’on me répondra !

Ambiance toute aussi déplorable, « stade de morts-vivants » sort Torino, et il n’a pas tord. Ce stadio, c’est Louis II 2 ! Un seul kope dans un virage, avec 3-4 drapeaux rouges et noirs, e basta. Bon, ok, on n’est pas très fort non plus, mais avec nos hôtes installés juste derrière (y’en a même un qui voulait se mettre à côté de moi !) on a évité de se faire remarquer. On a attaché notre tifo au filet qui recouvrait les 3ers rangs, et on a quand même murmurer :

Oooooooooh On n’a pas d’chanson
Mais on s’amuse bien
On est tellement con
Qu’on n’a pas d’chanson

Entrée des joueurs, magnifique tendu d’écharpes de notre part !

20 h 45, coup d’envoi du match Bayer Leverkusen - Olympique Lyonnais. Et c’est parti pour 90 min de délire. Ben oui, on assiste à un match amical, les joueurs se serrent la main à la moindre petite faute, le ballon circule au milieu de terrain…

Attention ! Déjà un arrêt de Coupet ! c’est bien, il est en forme, malgré le peu d’enjeu. Niko qui vient d’arriver a aussi manqué un deuxième arrêt de notre Greg International !

Bon ballon de Née pour Carrière, frappe ! Non, c’est Butt ! Seconde frappe ! Oui, c’est BUUUUUUUUUUUT ! 0-1 pour l’OL après 32 min de jeu. On est comme des fous, les allemands derrières rigolent.

Le téléphone de Méli n’arrête pas de vibrer (humm). Attention, je n’ai plus de batterie ! C’est pas grave ! Le match continu. Pendant que j’écoute les conneries de mon interlocuteur, les lyonnais poussent. Fred et Eric sont encore dans la surface de réparation, et BUUUUUUUT ! « Comment, il y a but ?!

- Youuuuuuuuuuuuh ! But de Carrière, 2é but de Carrière ! 2-0 pour l’OL !
- Carrière ? Il déchire tout cette année encore !
- C’est clair !

On est super content, on ne sera pas venu pour rien ! « Ils sont capables de le gagné ce match-là » dit Mouton. « Ouais, ils jouent trop bien ! Ils n’ont jamais jouer comme ça ! » Mais non Torino, c’est paske d’habitude, on regarde pas le match !

D’un coup, on entend un « oooooooh » puis un « aaaaaaah » venu d’ailleurs. Tiens, le stade se réveille ?! Non, c’est Müller qui fait faute et qui prend un carton. Coup franc. Et but pour le « Bayer ! Bayer ! ». Coupet a eu beau défier les lois de la gravitation, le ballon était trop bien placé. Bon, c’est la pause, 1-2 pour l’OL, et puis aussi 0-1 pour MU face aux Lillois.

Seconde mi-temps un peu plus passionnante, les Allemands ont dû être un peu vexés. Le niveau de jeu et l’engagement physique sont montés d’un ton. 2-2, ça, c’était Laville un peu en retard sur l’action qui n’a pu rattraper Schneider. Müller n’a pas suivi non plus, et c’est Coupet qui est obligé d’intervenir. Mais un attaquant en cache un autre, et le Bayer a égalisé. C’est pas grave Greg !

Encore quelques arrêts de classe du GG (non, pas GG, mais Gardien Gone, Grand Gardien ou Grand Greg ! Elle comprend rien cette Indy !) nous font entendre des « Coupet ! Coupet ! » derrière nous. Oh ! Des VIP ! Née court partout, Carrière est moins présent, mais Juninho est là et zigzag entre les défenseurs adverses. Violeau, Govou et Balmont passent devant nous pour aller s’échauffer. Ils auraient pu nous faire signe, mais bon, c’est vrai qu’il y a trop de bruit dans ce stade, les frottement du ballon dans l’air, ça résonne, tout le monde sait ça ! Ouah ! Née s’envole ! BUUUUUUUT ! Encore une tête de l’ancien Bastais, servi par Carrière. 2-3.

Govou et Violeau sont entrés, et 2-4 ! But de Sidney, qui aurait aussi pu en mettre un juste avant… Montoya a rejoint Balmont derrière le but de Coupet, ils regardent la fin du match. Non, à notre grand regret, ils ne rentreront pas…

C’est quoi ce carton pour Laigle ? Il a fumé l’arbitre ? Bon, de toute façon, c’est terminé. Puis on s’en fou, on a gagné, et on n’aime pas le foot !

Les joueurs nous saluent de loin, avec applaudissements (cf dernière photo sur le site de l’OL), mais toujours ce jeu débile qui est le-premier-sous-la-douche-à-gagné. Pas de maillot envoyé de notre côté, ce sont les Allemands (et les Belges) qui en profitent (arf, z’ont rien compris !). On regarde l’écran pour connaître les autres résultats de la soirée, et on est content, puisque le LOSC a égalisé face à Manchester, et s’est bien fatigué en même temps.

22 h 40, devant le bus des joueurs Après avoir récupéré la bâche HEX@ (merci pour ton aide Niko !), on se dirige vers le bus tout beau. Les Nucléos sont partis avec les footix (non, ce n’est pas une blague), Niko et Méli sont donc les 2 seuls Français à attendre les joueurs. Le premier à sortir de la douche est Née. Pôpô Deflandre attend son fils à nos côté, mais a pu s’infiltrer dans la zone interdite.

Angello s’approche, du coup, pensant que Coupet n’est pas loin, Niko déplie la bâche, et on essaie de la maintenir contre la grille de l’enceinte du stade. Ben c’est OLTélé qui en profitera le plus. Web Alex vient elle aussi nous saluer, on discute 2 min, juste le temps de lui dire « on veut voir Greg ». Bon, elle ne devait pas être dans son assiette, puisqu’on a attendu en vain, et puis on a lu plus tard qu’il y avait 20 000 Lyonnais dans le stade…

Bref, Fred vient enfin nous voir, on le sent plutôt mal à l’aise, pourtant, nous n’étions que 6… On ne va pas te manger mon grand ! S’en suit Carrière, content, puis Chanelet, encore plus jovial, qui n’arrêtait pas de rigoler « Ah vous êtes venu en voiture ? En bus ? Ah ! En train, c’est bien, c’est cool ! ah ah ah ! ». Heu, c’est quoi ce délire ? Il y avait une fumée bizarre dans le stade ? J’ai rien senti moa ! Ben en tout cas, on n’aura pas vu Greg. Sniff…

00 h 30, dans les rues de Leverkusen. Après un bref passage au Mc Doof, on s’en va retrouver la voiture de Niko. Mais où donc qu’elle est ? A cuge ? Connaît pas !

Tours et détours autour de l’usine chimique Bayer, on retrouve enfin la caisse de Niko (et non à Niko), oui Indy, elle est toujours immatriculée GG si c’est ça que tu  . Nous partons donc pour Francfort.Jvoulais savoir

1 h 30 et multiples discussions plus tard, nous arrivons donc dans l’un des foyers Hex@llemands. On jette un œil sur le net et sur le petit écran (heu… je dis petit paske c’est pas une toile de ciné, mais…) ; les médias ne sont pas à la hauteur de nos espérances… Allez, au pieu, on verra le reste plus tard !

Jeudi, 9 h 40, chez M’sieur Niko.Debout là-dedans ! Hop, Méli a un train a prendre ! On prend un petit café, et Niko en profite pour appelé Stéphane, autre Hex@llemand de Francfort. Ah, il est dégoûté, ben il n’avait qu’à venir d’abords ! Non mais !

On part ensuite pour l’aéroport international. J’ai un train à 10 h 50, mais bon, ça fait trop juste, et puis revenir d’Allemagne sans bière, ça ne se fait pas, ‘trouvez-pas ? On passe donc à la boutique. Il faut ramener une choppe à $ynop$, mais il veut laquelle ? Il y en a une qui lui irait bien, alors même si c’est pour qu’il l’offre, on la prend ! Quant aux bières, c’est Niko qui en choisi quelques unes, pour $ynop$, Exilé (j’ai pas pu acheter d’écharpe, vu que j’ai payé la place en Mark…ben voilà quoi, me pardonneras-tu ?), et moa (ben quoi ?!).

Le prochain train partant à 14 h 57 du centre ville, on se rend donc dans la grande-tour-qui-fait-restaurant-et-qui-tourne. A la votre et bon appétit ! Ensuite, Niko me pose à la gare, et je monte dans le train (Non ! Sans blague !) pour Paris Gare de l’Est.

21 h 30, Paris. J’arrive donc chez moi, après être passée par Mannheim, Kaiserlautern (Tient ! Il n’y a pas un Lyonnais qui joue là-bas ?), Saarbrücken et Metz (arrêt de 45min). Connexion sur le site Hex@, et que vois-je ? On parle de moi pendant que je ne suis pas là ! Pas bien les Gones ! Enfin, c’est pas grave, ça passe pour cette fois.

Le tirage au sort nous emmènera sans doute en 8è de finale de la coupe de l’UEFA mais le « petit » voyage à Bruges se fera sans moi

Remerciements :

  • A l’OL, ben sans eux, pas de guichets…
  • A Skyrock et OLTélé pour la partie médiatique
  • A JeM pour son drapeau, je ne sais pas si on l’a vu, mais il était là !
  • A Gaël et Indy, qui se sont débrouillés une fois de plus pour nous transmettre le plus d’infos possible en temps voulu
  • Et surtout à Niko, pour son accueil et sa disponibilité

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